Non à l'extension de l'avortement au Sénat

La vie est sacrée

 

Non à l'extension de l'avortement au Sénat

victoire

Non à l'extension de l'avortement au Sénat

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MAJ de la pétition octobre 2021

 

Seulement quelques mois après le rejet par l’avortement par le Parlement, ils reviennent à la charge pour étendre l’avortement, sujet qui semble les obséder au moment où notre pays fait face à de nombreuses crises !

 

En effet, Christophe Castaner, Président du groupe parlementaire La République en Marche à l’Assemblée nationale entend déposer une proposition de loi d’ici la fin du mois de novembre pour une nouvelle fois repousser la limite l’égale pour pratiquer un avortement chirurgical de 12 à 14 semaines de grossesses.

 

Ce dernier affirme qu’« En France, l’avortement n’est pas menacé en droit, mais il l’est dans la pratique. Il y a de vraies inégalités territoriales et sociales. Si on veut garantir un droit réel et égal à celles qui doivent être protégées, il est nécessaire d’allonger les délais ». « Nous souhaitons que ce texte aboutisse » tout en précisant que « nous aurions le temps, en janvier-février de l’adopter définitivement à l’Assemblée nationale ».


MAJ de la pétition 2020 : 

En effet, un rapport de l’Assemblée nationale propose de repousser la limite légale pour pratiquer un avortement chirurgical de 12 à 14 semaines de grossesse. Et ce, pour éviter que l’accès à l’IVG ne soit un « parcours du combattant »

C’est la seconde proposition de loi sur le sujet qui sera débattue prochainement, car une autre proposition de loi a été déposée cet été par des élus de différents groupes de l’Assemblée nationale

« IVG pour toutes », le nom choisi pour ce texte, prévoit notamment la suppression de la clause de conscience spécifique à l’IVG et l’allongement des délais légaux de 12 à 14 semaines de grossesse. Cette proposition de loi est soutenue par 58 élus et 154 professionnels de santé. 

Or de nombreux professionnels de santé contestent ces arguments « En Espagne ou aux Pays-Bas, certes le délai d’IVG est plus long qu’en France, mais il n’y a pas dans ces pays d’interruptions médicales de grossesse (IMG) » précise le Professeur Nisand, IMG autorisé jusqu’à 9 mois par l’Assemblée nationale cet été ! Mais pas encore par le Sénat, nous préparons une pétition pour les Sénateurs.

Le professeur Nisand précise que « En Espagne ou aux Pays-Bas, certes le délai d’IVG est plus long qu’en France, mais il n’y a pas dans ces pays d’interruptions médicales de grossesse (IMG). “Or, passer de douze à quatorze semaines de grossesse est un changement d’une tout autre ampleur que celui réalisé à l’époque. Cela signifie très concrètement des actes beaucoup plus durs à réaliser”, précise-t-il, pour ceux qui doutaient encore qu’il s’agissait d’un enfant à naître !

Il précise le déroulé de l’opération “La tête du fœtus est ossifiée et il faut l’écraser. Le geste lui-même est donc terrible pour celui qui le fait et pour la patiente. Au sein du Collège, j’ai soumis quatre fois au votecette mesure d’allongement des délais de deux semaines, et elle a chaque fois été refusée à 100 % des votants. Dans le pays, il n’y a sans doute qu’une dizaine de médecins qui pensent le contraire. Il s’agit de militants qui ne sont absolument pas représentatifs.”

Pétition durnant la période du COVID

Nous entendons tous les jours lors du point presse de Jérôme Salomon, DG santé, que les hôpitaux se réorganisent dans le cadre du coronavirus. Ainsi, « toute activité chirurgicale ou médicale non urgente, et sans préjudice de perte de chance pour les patients » est déprogrammée.

Il semble qu’une pratique soit considérée comme vitale à la nation pour de nombreux médecins et politiques : l’avortement.

CitizenGO alertait, au début du confinement, lorsque la sénatrice socialiste avait déposé un amendement pour allonger le délai légal d’avortement à 14 semaines. Heureusement, l’amendement n’est pas passé.

Mais la sénatrice socialiste Laurence Rossignol revient à la charge dans une tribune publiée dans Le Monde, accompagnée de l’ancienne ministre Roselyne Bachelot, Anne Hidalgo, Marisol Tourraine, Najat Vallaud-Belkacem, ainsi que de nombreux médecins

  • Nous souhaitons que les avortements puissent être autorisés par voie médicamenteuse au domicile jusqu’à neuf semaines d’aménorrhée, soit sept semaines de grossesse.
  • nous demandons que les mineures soient dispensées du délai de quarante-huit heures qui leur est actuellement imposé avant leur IVG et puissent bénéficier d’une IVG dans la foulée de leur première consultation
  • Nous souhaitons pouvoir, à titre exceptionnel pendant la durée du confinement, réaliser des aspirations jusqu’à seize semaines d’aménorrhée, soit quatorze semaines de grossesse.

CitizenGO ne vous apprendra rien en vous précisant que le caractère exceptionnel de ces mesures sera oublié afin de devenir la « norme », la pratique courante au nom du droit des femmes et du progrès.

Alors qu’à longueur de journée, les Français sont fiers des médecins, des infirmiers, etc. qui se battent chaque minute, sans moyens, pour sauver des hommes et des femmes du Coronavirus, montrant l’importance de la vie... Il faudrait profiter ce moment pour tuer encore plus tôt, plus vite les plus faibles ?

Il est temps de dire NON, de s'opposer aux signataires de cette tribune et à l'ensemble des mesures qu'ils proposent !

Les principaux passages de la tribune :

Ainsi, nous avons maintenu ouvertes les consultations et favorisé chaque fois que c’était possible les IVG médicamenteuses à domicile, même si on ne peut éviter le déplacement des patientes, car la télémédecine est malheureusement impossible légalement dans cette situation.

Nous avons également augmenté les capacités pour les avortements sous anesthésie locale, car les blocs opératoires de tous les établissements ont été transformés en salles de réanimation, et organisé des partenariats avec des structures privées pour la prise en charge des avortements sous anesthésie générale.

Des problèmes encore

  •  Nous souhaitons que les avortements puissent être autorisés par voie médicamenteuse au domicile jusqu’à neuf semaines d’aménorrhée, soit sept semaines de grossesse.
  • nous demandons que les mineures soient dispensées du délai de quarante-huit heures qui leur est actuellement imposé avant leur IVG et puissent bénéficier d’une IVG dans la foulée de leur première consultation
  • Nous souhaitons pouvoir, à titre exceptionnel pendant la durée du confinement, réaliser des aspirations jusqu’à seize semaines d’aménorrhée, soit quatorze semaines de grossesse.

Ces difficultés vont obliger nombre de femmes à conserver leur grossesse contre leur gré, mettant en danger leur autonomie et l’avenir des enfants nés dans ces conditions.


Nous y sommes prêt(e)s, et sommes également prêt(e)s à nous mettre hors-la-loi pour appliquer ces mesures

Ce texte a reçu le soutien de : Roselyne Bachelot, ancienne ministre de la Santé ; Guillaume Gou ! ier-Cha, député du Val-de-Marne (LRM) ; AnneHidalgo, maire de Paris, socialiste ; Laurence Rossignol, sénatrice socialiste, ancienne ministre des droits des femmes ; Yvette Roudy, ancienne ministre des droits des femmes ; Marisol Touraine, ancienne ministre de la Santé ; Najat — Vallaud-Belkacem, ancienne ministre des droits des femmes. Liste complète des soutiens au texte sur le site IVG-Covid


https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/03/31/il-faut-proteger-les-droits-des-femmes-et-maintenir-l-acces-a-l-avortement_6034997_3232.html

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Victoire!
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PPL : Non à l'extension de l'avortement,

Monsieur le Président Bruno Retailleau,

Je vous écris à propos de la proposition de loi Gaillot visant à étendre l’avortement à 14 semaines.

Alors que le Parlement s’est exprimé sur le sujet l’année dernière et a rejeté la proposition de loi visant à étendre l’avortement à 14 semaines, le groupe majoritaire à l’Assemblée nationale se moque de la démocratie parlementaire et veut refaire passer une proposition de loi sur le sujet.

Comme le précise le Professeur Israël Nisand « passer de douze à quatorze semaines de grossesse est un changement d’une tout autre ampleur que celui réalisé à l’époque. Cela signifie très concrètement des actes beaucoup plus durs à réaliser ». La tête du fœtus est ossifiée et il faut l’écraser. Le geste lui-même est donc terrible pour celui qui le fait et pour la patiente. Au sein du Collège, j’ai soumis quatre fois au vote cette mesure d’allongement des délais de deux semaines, et elle a chaque fois été refusée à 100 % des votants. Dans le pays, il n’y a sans doute qu’une dizaine de médecins qui pensent le contraire. Il s’agit de militants qui ne sont absolument pas représentatifs. »

En tant que Sénateur, Président du groupe Les Républicains au Sénat, je vous demande de bien vouloir vous opposer à ce texte, au nom des valeurs de votre famille politique.

À l’approche des présidentielles et des législatives, je ne comprendrais pas votre abstention ou votre absence lors du vote et j’en tiendrais compte à l’occasion des prochains scrutins électoraux.

Je vous remercie de penser à l’intérêt de l’enfant.

[Votre Nom]

PPL : Non à l'extension de l'avortement,

Monsieur le Président Bruno Retailleau,

Je vous écris à propos de la proposition de loi Gaillot visant à étendre l’avortement à 14 semaines.

Alors que le Parlement s’est exprimé sur le sujet l’année dernière et a rejeté la proposition de loi visant à étendre l’avortement à 14 semaines, le groupe majoritaire à l’Assemblée nationale se moque de la démocratie parlementaire et veut refaire passer une proposition de loi sur le sujet.

Comme le précise le Professeur Israël Nisand « passer de douze à quatorze semaines de grossesse est un changement d’une tout autre ampleur que celui réalisé à l’époque. Cela signifie très concrètement des actes beaucoup plus durs à réaliser ». La tête du fœtus est ossifiée et il faut l’écraser. Le geste lui-même est donc terrible pour celui qui le fait et pour la patiente. Au sein du Collège, j’ai soumis quatre fois au vote cette mesure d’allongement des délais de deux semaines, et elle a chaque fois été refusée à 100 % des votants. Dans le pays, il n’y a sans doute qu’une dizaine de médecins qui pensent le contraire. Il s’agit de militants qui ne sont absolument pas représentatifs. »

En tant que Sénateur, Président du groupe Les Républicains au Sénat, je vous demande de bien vouloir vous opposer à ce texte, au nom des valeurs de votre famille politique.

À l’approche des présidentielles et des législatives, je ne comprendrais pas votre abstention ou votre absence lors du vote et j’en tiendrais compte à l’occasion des prochains scrutins électoraux.

Je vous remercie de penser à l’intérêt de l’enfant.

[Votre Nom]