Pour de véritables droits de l'homme aux Nations unies

La défense de l’avortement renforce-t-elle les droits de l’homme ?

 

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Pour de véritables droits de l’homme aux Nations unies

Le Secrétaire général des Nations unies nous demande comment il peut renforcer la défense des droits de l’homme. Écrivez-lui maintenant et demandez-lui de défendre le droit à la vie, la famille et le droit des parents à éduquer leurs enfants.

La dernière Assemblée générale des Nations unies a approuvé la résolution A/RES/74/151 (paragraphe 12) dans laquelle elle suggère que le Secrétaire général consulte les États membres et les ONG sur la manière dont ils pourraient renforcer l’action en faveur des droits de l’homme par la coopération internationale et en vertu des principes d’impartialité et d’objectivité.

Le Secrétaire général rassemblera toutes les propositions reçues avant le 22 janvier en vue de présenter un rapport à la 70e Assemblée générale.

C’est notre chance de dire aux Nations Unies ce que nous pensons :

  • Défendre le droit à la vie. C’est le premier des droits et il est inclus à la fois dans la Déclaration universelle des droits de l’homme et dans la Charte des droits sociaux et politiques.
  • Défendre la famille comme cellule de base de la société. Cela implique une vision transversale des politiques et du cadre juridique pour agir dans une perspective familiale. Il s’agit également de protéger le mariage traditionnel.
  • Défendre la liberté, comme la liberté d’éducation notamment

Récemment, les Nations unies ont salué l’approbation de l’avortement en Argentine. C’est exactement la voie qu’il ne faut pas suivre : pour une institution internationale, défendre la violation du premier des droits est tout sauf renforcer la défense des droits de l’homme.

Pour plus d’informations :

Vous pouvez lire la lettre dans laquelle le Secrétaire général demande aux ONG des idées sur la manière d’améliorer le travail en matière de droits de l’homme : https://docs.google.com/document/d/1vVlzXVMkEB8SqCoHYRaGYvEiHb_7LFErPJL7tlJ2CcY/edit

Les experts des Nations unies saluent l’approbation de l’avortement en Argentine : https://news.un.org/fr/story/2020/12/1085772

Consultez la Déclaration universelle des droits de l’homme ici : https://www.un.org/es/universal-declaration-human-rights/

Consultez la Convention universelle des droits de l’enfant ici https://www.unicef.fr/dossier/convention-internationale-des-droits-de-le...

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Pour de véritables droits de l'homme aux Nations unies

À l'attention du secrétaire général des Nations-Unies,

Je constate avec inquiétude que les Nations unies, l’ONU Femmes, ainsi que le Haut-Commissariat aux droits de l’homme, consacrent des efforts, de l’énergie et un budget à la promotion d’une législation permissive comportant un soi-disant « droit » à l’avortement.

L’élimination d’une vie humaine innocente est clairement une violation fondamentale des droits de l’homme, notamment du droit à la vie !

Cela n’aide pas non plus une femme qui est confrontée à une grossesse difficile ou inattendue. La solution la plus digne pour la femme et pour la vie qu’elle porte, est le soutien social. L’avortement n’est pas une solution digne et ses effets physiques et psychologiques sur les femmes sont très préoccupants.

Je note également avec inquiétude que les Nations unies soutiennent avec enthousiasme ce qu’ils appellent « l’orientation sexuelle et identité de genre » et « l’éducation sexuelle globale ». Il s’agit d’un programme, qui, sous prétexte de lutter contre les discriminations et l’homophobie, cherche à endoctriner à l’idéologie du genre, à requalifier les unions homosexuelles en mariage, à faciliter l’adoption par les couples homosexuels et à faciliter les changements de sexes.

Bien sûr, nous condamnons la violence et la discrimination à l’encontre des personnes homosexuelles, mais imposer le mariage gay ne signifie pas « étendre les droits », mais dévaloriser le mariage, pilier de la famille qui est elle-même la cellule de base de la société.

En outre, l’endoctrinement de nos écoliers via l’idéologie du genre est contraire au droit des parents d’éduquer leurs enfants conformément à leurs principes et valeurs ; un droit inscrit dans la Déclaration universelle des droits de l’homme.

De plus, "donner" un enfant à un couple homosexuel pour qu’il réalise son rêve de devenir parent est en contradiction avec le principe même de l’adoption.

Cependant, je regrette que les Nations unies n’aient pas fait d’efforts pour promouvoir des politiques et une législation qui tiennent compte de la famille. Cela est essentiel si l’on part du principe que la famille est l’institution sociale et humaine la plus précieuse, un coussin social, une école de solidarité et un lieu privilégié de socialisation.

Enfin, le fait que des dictatures comme Cuba et la Chine soient membres du Conseil des droits de l’homme des Nations unies n’aide pas l’institution.

J’espère que vous prendrez en compte tous ces points de vue dans le rapport que vous préparerez pour la 70e Assemblée générale.

Je vous prie d'agréer, Monsieur, l'expression de mes salutations les plus distinguées.

[Votre Nom]

Pour de véritables droits de l'homme aux Nations unies

À l'attention du secrétaire général des Nations-Unies,

Je constate avec inquiétude que les Nations unies, l’ONU Femmes, ainsi que le Haut-Commissariat aux droits de l’homme, consacrent des efforts, de l’énergie et un budget à la promotion d’une législation permissive comportant un soi-disant « droit » à l’avortement.

L’élimination d’une vie humaine innocente est clairement une violation fondamentale des droits de l’homme, notamment du droit à la vie !

Cela n’aide pas non plus une femme qui est confrontée à une grossesse difficile ou inattendue. La solution la plus digne pour la femme et pour la vie qu’elle porte, est le soutien social. L’avortement n’est pas une solution digne et ses effets physiques et psychologiques sur les femmes sont très préoccupants.

Je note également avec inquiétude que les Nations unies soutiennent avec enthousiasme ce qu’ils appellent « l’orientation sexuelle et identité de genre » et « l’éducation sexuelle globale ». Il s’agit d’un programme, qui, sous prétexte de lutter contre les discriminations et l’homophobie, cherche à endoctriner à l’idéologie du genre, à requalifier les unions homosexuelles en mariage, à faciliter l’adoption par les couples homosexuels et à faciliter les changements de sexes.

Bien sûr, nous condamnons la violence et la discrimination à l’encontre des personnes homosexuelles, mais imposer le mariage gay ne signifie pas « étendre les droits », mais dévaloriser le mariage, pilier de la famille qui est elle-même la cellule de base de la société.

En outre, l’endoctrinement de nos écoliers via l’idéologie du genre est contraire au droit des parents d’éduquer leurs enfants conformément à leurs principes et valeurs ; un droit inscrit dans la Déclaration universelle des droits de l’homme.

De plus, "donner" un enfant à un couple homosexuel pour qu’il réalise son rêve de devenir parent est en contradiction avec le principe même de l’adoption.

Cependant, je regrette que les Nations unies n’aient pas fait d’efforts pour promouvoir des politiques et une législation qui tiennent compte de la famille. Cela est essentiel si l’on part du principe que la famille est l’institution sociale et humaine la plus précieuse, un coussin social, une école de solidarité et un lieu privilégié de socialisation.

Enfin, le fait que des dictatures comme Cuba et la Chine soient membres du Conseil des droits de l’homme des Nations unies n’aide pas l’institution.

J’espère que vous prendrez en compte tous ces points de vue dans le rapport que vous préparerez pour la 70e Assemblée générale.

Je vous prie d'agréer, Monsieur, l'expression de mes salutations les plus distinguées.

[Votre Nom]