Non à la pérsécution des Chrétiens dans le Nord du Burkina Faso

Sauvons les Chrétiens du Burkina Faso

 

Non à la pérsécution des Chrétiens dans le Nord du Burkina Faso

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Le 19 août 2019, une attaque islamiste a fait plus d’une dizaine de morts d’auprès de militaires dans la province du Soum au Burkina Faso.

L’État islamique et d’autres groupes islamistes se développent dans la région.

L’État islamique a revendiqué l’attaque islamiste, qui est une des plus meurtrières dans le pays. Malheureusement, ce n’est pas un cas isolé.

L’État islamique souhaite se développer dans la région. Auparavant les attaques de l’État islamique se déroulaient à la zone frontalière avec le Mali et le Niger. Dans la région, l’Etat islamique n’est pas la seule organisation islamiste à réaliser des attaques, Al-Qaida est également très présent dans la région également.

Les groupes islamiques se sont installés dans le pays depuis la chute de Blaise Compaoré en 2015. Cette région du Nord est abandonnée par les forces de l’ordre.

Deux grands groupes sont clairement identifiés : le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM) et l’État islamique au Grand Sahara (EIGS). Autour d’eux gravitent des petits groupes plus ou moins structurés. Ils ne constituent pas un front uni, mais forment une alliance de circonstance.

Les chrétiennes, premières victimes

60 % de la population du Burkina Faso est musulmane, 19 % sont catholiques, 4 % protestantes et 15 % animistes.

L’évêque de Fada'Ngourma, Mgr Pierre Claver Malgo, est inquiet pour ses fidèles et pour la situation du Sahel et de son pays.

Mgr Malgo précise que Son « diocèse est le plus grand du pays et se trouve dans l’une des zones les plus touchées par les attentats. La violence a provoqué un très grand nombre de personnes déplacées dont nous nous occupons. Pour le moment, nous les avons logés dans les salles de classe des écoles, même si cela signifie que nous ne pouvons pas commencer l’année scolaire ».

L’évêque observe qu’il y a plusieurs groupes islamistes qui opèrent dans la région et pour lui, « il est clair que tous ont un plan : occuper l’intégralité de la région du Sahel ». Mgr Malgo précise que lorsque les fidèles sont attaqués « on leur demande toujours de se convertir à l’Islam et d’abandonner leur foi. Sans parler de la destruction et de la profanation des symboles religieux chrétiens ».

 

Dans les villages du Nord de Hitté et Rounga, de nombreux chrétiens ont été forcés de se convertir ou de quitter les lieux. Ainsi, près de 2000 personnes auraient pris la fuite pour éviter la persécution. Des prêtres, des pasteurs sont également enlevés et tués.

Près de 7000 déplacés, exilés ont trouvé refuge dans la ville de Titao.

 

Dans le silence général, la présence chrétienne dans le Nord du Burkina Faso est en train de disparaître. Les « musulmans modérés » sont également persécutés par ces groupes islamistes.

« Ils ne sont pas les seuls dans ce cas, mais font partie du programme des djihadistes qui sèment la terreur, assassinent des membres des communautés chrétiennes et font fuir les derniers chrétiens après leur avoir notifié qu’ils reviendraient dans les trois jours et qu’ils ne voudraient pas trouver de chrétiens ni de catéchumènes » assurent des sources proche de la Fondation AED


https://www.vaticannews.va/fr/eglise/news/2019-09/eglise-burkina-faso-terrorisme-aide-eglise-detresse-chretiens.html?fbclid=IwAR2WF-PzgfyeVX5UNwC8F7kcLvNSo6Xh41c2b3UUaoMc8oXHo67FivJ6roM

https://fr.aleteia.org/2019/09/23/burkina-faso-la-situation-des-chretiens-du-nord-pays-empire-de-jour-en-jour/

https://www.lopinion.fr/edition/international/burkina-niger-l-etat-islamique-exploite-vide-securitaire-liens-195940

https://www.france24.com/fr/20190920-burkina-faso-autorites-face-peril-jihadiste-organisation-etat-islamique-al-qaida

 
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Un massacre se déroule au Burkina Faso

Madame la députée, monsieur le député,

 

Depuis plusieurs mois, les groupes islamistes et l’Etat Islamique commettent de nombreux massacres dans le Nord du Burkina Faso.

Deux grands groupes sont clairement identifiés : le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM) et l’État islamique au Grand Sahara (EIGS). Autour d’eux gravitent des petits groupes plus ou moins structurés. Ils ne constituent pas un front uni, mais forment une alliance de circonstance.

L’évêque de Fada'Ngourma, Mgr Pierre Claver Malgo, est inquiet pour ses fidèles et pour la situation du Sahel et de son pays. Mgr Malgo précise que son « diocèse est le plus grand du pays et se trouve dans l’une des zones les plus touchées par les attentats. La violence a provoqué un très grand nombre de personnes déplacées dont nous nous occupons. Pour le moment, nous les avons logés dans les salles de classe des écoles, même si cela signifie que nous ne pouvons pas commencer l’année scolaire ».

Dans les villages du Nord de Hitté et Rounga, de nombreux chrétiens ont été forcés de se convertir ou de quitter les lieux. Ainsi, près de 2000 personnes auraient pris la fuite pour éviter la persécution. Des prêtres, des pasteurs sont également enlevés et tués. Près de 7000 déplacés, exilés ont trouvé refuge dans la ville de Titao.

En tant que membre du groupe d’amitié, France-Burkina Faso, je vous demande de bien vouloir porter ce débat au sein de l’hémicycle. Par ailleurs, je souhaiterais savoir quelles actions allez-vous mener pour aider ces populations persécutées.

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur le député(e), l’expression de ma considération la plus distinguée.

[Votre Nom]

Un massacre se déroule au Burkina Faso

Madame la députée, monsieur le député,

 

Depuis plusieurs mois, les groupes islamistes et l’Etat Islamique commettent de nombreux massacres dans le Nord du Burkina Faso.

Deux grands groupes sont clairement identifiés : le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM) et l’État islamique au Grand Sahara (EIGS). Autour d’eux gravitent des petits groupes plus ou moins structurés. Ils ne constituent pas un front uni, mais forment une alliance de circonstance.

L’évêque de Fada'Ngourma, Mgr Pierre Claver Malgo, est inquiet pour ses fidèles et pour la situation du Sahel et de son pays. Mgr Malgo précise que son « diocèse est le plus grand du pays et se trouve dans l’une des zones les plus touchées par les attentats. La violence a provoqué un très grand nombre de personnes déplacées dont nous nous occupons. Pour le moment, nous les avons logés dans les salles de classe des écoles, même si cela signifie que nous ne pouvons pas commencer l’année scolaire ».

Dans les villages du Nord de Hitté et Rounga, de nombreux chrétiens ont été forcés de se convertir ou de quitter les lieux. Ainsi, près de 2000 personnes auraient pris la fuite pour éviter la persécution. Des prêtres, des pasteurs sont également enlevés et tués. Près de 7000 déplacés, exilés ont trouvé refuge dans la ville de Titao.

En tant que membre du groupe d’amitié, France-Burkina Faso, je vous demande de bien vouloir porter ce débat au sein de l’hémicycle. Par ailleurs, je souhaiterais savoir quelles actions allez-vous mener pour aider ces populations persécutées.

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur le député(e), l’expression de ma considération la plus distinguée.

[Votre Nom]